FAQ

Questions fréquentes

Vos questions, mes réponses

  • Le psychologue est un professionnel titulaire d’un master en psychologie, spécialisé dans l’écoute et l’accompagnement psychologique. Il intervient sur les troubles psychiques ou émotionnels à travers des thérapies adaptées.
  • Le psychiatre est un médecin spécialisé en psychiatrie, habilité à poser des diagnostics médicaux et à prescrire des traitements médicamenteux si nécessaire.
  • Le psychothérapeute désigne une personne formée à la psychothérapie, pouvant être un psychologue ou un médecin. Ce titre est réglementé et encadré.

Une consultation psychologique commence par un temps d’échange destiné à comprendre la raison de la venue et à cerner les attentes. Cet entretien permet d’identifier les problématiques à travailler et de fixer ensemble des objectifs thérapeutiques. Chaque séance est un espace bienveillant, propice à l’expression des émotions, à la réflexion et au travail sur soi. Suivant les parcours et la nature du travail engagé, des propositions de réflexion, d’écriture… peuvent être proposées entre deux séances. Il est possible aussi d’utiliser des supports et des médiations ludiques ou artistiques, des jeux de société ou des techniques spécialisées, notamment dans le suivi de personnes en situation de handicap ou d’enfants ou tout simplement pour des personnes qui sont moins à l’aise dans l’échange verbal. Le langage reste cependant le point d’appui principal de tout travail.

Le tarif d’une consultation dépend de sa nature et de sa durée. À titre indicatif, chaque séance dure entre 30 et 45 minutes.

  • Séance individuelle : 60 €
  • Séance de couple ou thérapie familiale : 85 €
  • Séances en visio : mêmes tarifs qu’en présentiel
  • Séances à domicile : tarif à définir ensemble selon les besoins

Certaines mutuelles peuvent proposer un remboursement partiel. Un devis peut être fourni sur demande, notamment si vous souhaitez le présenter à votre complémentaire santé.

Un tarif réduit peut être envisagé pour les étudiants, les personnes sans emploi ou à faibles revenus. Cette option est étudiée au cas par cas lors du premier entretien.

  • En cas de retard, la séance ne pourra pas être prolongée.
  • Toute annulation ou demande de report doit être signalée au moins 24h à l’avance (jours ouvrables). Passé ce délai, la consultation est due.
  • Le règlement s’effectue à la fin de chaque séance par chèque ou espèces (les cartes bancaires ne sont pas acceptées).

Si des difficultés financières vous empêchent de maintenir une séance, n’hésitez pas à m’en parler en amont. Nous chercherons ensemble une solution adaptée.

La durée d’un suivi thérapeutique dépend des besoins de chaque personne et de la nature des difficultés. Certains accompagnements peuvent être courts, avec une dizaine de séances, tandis que d’autres nécessitent un travail plus approfondi sur plusieurs mois. L’objectif et la fréquence des rendez-vous sont discutés et ajustés au fur et à mesure de l’évolution. Vous restez libre de mettre fin à votre thérapie à tout moment. Il reste toujours préférable d’en parler à l’avance ensemble, ce qui permettra de mesurer les enjeux de cette démarche, et d’en comprendre les raisons. Il est important de préciser que toute thérapie vise l’amélioration de la santé mentale et de fait l’arrêt du suivi. 

Par définition, une thérapie c’est avant tout un travail commun d’élaboration. Il nécessite une alliance thérapeutique. Ma démarche clinique intègre une réflexion sur le lien engagé de part et d’autre. Ce lien peut convenir ou pas. Dans le transfert le travail sur soi peut être complexe. Il est tout à fait possible de faire le choix de s’orienter ou de vous orienter vers un(e) confrère si cela est nécessaire.

La pratique clinique est celle qui s’appuie sur l’écoute du patient, et l’attention portée aux manifestations symptomatiques d’un mal-être. La rencontre physique dans un même espace au moment même de la consultation est indispensable. Il n’existe pas de pratique clinique sérieuse, qui se ferait hors de la présence réelle d’un praticien. La présence des corps et des psychismes crée une relation clinique qui ne peut être remplacée ou égalée par une intelligence artificielle aussi élaborée et/ou technique soit elle. La dimension subjective reste fondamentale, les lapsus, actes manqués, transferts, identifications, projections… sont des points d’appuis au travail thérapeutique. 

La clinique nécessite la mise en place d’une relation singulière, qui par elle-même, ne saurait faire l’économie du temps, et du questionnement permanent du psychologue sur sa propre approche.

A ce titre, elle s’enrichit continuellement de l’expérience acquise, mais aussi de celle de ses pairs.

Le psychologue clinicien a reçu une formation universitaire spécialisée, se réclamant le plus souvent de la psychanalyse, ou de la psychologie cognitivo-comportementale.

Cette formation, validée par un diplôme d’état, l’autorise à effectuer des bilans cognitifs ou psychopathologiques, des évaluations et des suivis cliniques.

Le psychologue clinicien a suivi une formation universitaire de cinq années, incluant en fin d’études, un stage professionnel, validées par un diplôme d’Etat (DESS ou Master II en psychologie clinique et psychopathologie).

L’exercice de cette profession est strictement réglementé par la loi n°85-772 du 25 juillet 1985.

Le psychologue clinicien doit être inscrit, auprès de la préfecture, sur le registre ADELI, conformément à la loi n°2002-303 du 4 mars 2002. 

Il doit aussi avoir un numéro RPPS.

Il se réfère, dans sa pratique, à un code de déontologie reconnu par les organismes paritaires, qui encadre précisément ses champs d’intervention, tant au niveau du public, qu’au niveau des équipes pluridisciplinaires, lorsqu’il travaille dans une institution (hospitalière, médico-sociale, pédagogique…etc).